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"L'an dernier, nous avons effectué un nouveau contrôle et nous avons constaté quelques infractions que nous avons rapportées au bourgmestre. Notre nouveau contrôle cette année montre que la situation s'est détériorée", a expliqué Michel Vandenbosch, président de Gaia.

"La Fête du Cheval", qui a eu lieu le 23 juin à Krombeke, a été la plus cruelle envers les chevaux, a affirmé Gaia, l'organisation de défense des animaux, jeudi lors d'une conférence de presse à Poperinge. Gaia se base sur des images video et des photos prises lors de la fête. L'organisation a porté plainte auprès de l'AFSCA et demande un entretien avec le bourgmeste de Poperinge.

"Après la suppression des courses de rue, il n'y avait plus trop de problèmes à Krombeke", a expliqué Michel Vandenbosch, président de Gaia. "L'an dernier, nous avons effectué un nouveau contrôle et nous avons constaté quelques infractions que nous avons rapportées au bourgmestre. Notre nouveau contrôle cette année montre que la situation s'est détériorée."

Gaia a relevé plusieurs situations anormales sur le marché aux chevaux. "Un certain nombre d'animaux pleins d'urine et de déjections ont été éjectés de camions surchargés. Certains chevaux ont reçu des coups inutiles à la tête. Beaucoup d'animaux avaient les sabots abîmés et présentaient des écorchures qui n'avaient pas été soignées", selon Michel Vandenbosch. Selon Gaia, les chevaux étaient trop proches les uns des autres et il y avait des animaux prêts à mettre bas, ce qui est illégal.
(belga/7sur7)
03/07/08 16h34

Dernièrement la ville belge de Krombeke, située en bordure de la frontière franco-belge, a accueilli la « fête du cheval ». Au programme : exposition d’ânes, de poneys, de chevaux et courses de trotteurs. Pourtant, malgré son appellation, cette manifestation n’avait rien de festif du point de vue équin.

Dénoncé par l’organisation belge de défense des droits des animaux Gaïa, cet événement hippique s’est illustré par de nombreuses dérives allant jusqu’à des actes de maltraitance. Selon les observateurs de terrain et les vétérinaires délégués sur place, les animaux étaient dans un piètre état physique. Couverts d’urine et de crottins, bon nombre d’équidés souffraient de blessures aux jambes, dont les plaies étaient laissées sans soin. Elles témoignent des conditions de transport déplorables dans des camions surchargés.

Par ailleurs, plusieurs chevaux présentaient des boiteries de gravité variable. Sur un âne et un cheval, on a ainsi constaté des cas de fourbures (1), pathologies résultant d’une déformation des sabots, l'animal reportant alors son poids sur les pieds les moins touchés.



Les conditions de détention ont pâti de cette même négligence généralisée, s’avérant aussi dangereuses pour les animaux exposés que pour le public. Bien qu’attachés par des liens souvent trop courts, les morsures et les coups de pied entre les équidés n’ont pu être évités du fait d’un mélange et d’une proximité contrainte. Il semblerait d’autre part qu’aucune alimentation en nourriture ou en eau n’ait été assurée au cours de la manifestation. Malmenés, certains chevaux ont même reçu des coups de bâtons sur la tête « sans raison apparente ».

Au regard de ces nombreux débordements, Gaïa a déposé plainte auprès de l’Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA). Incriminant tant les organisateurs de la « fête » que le responsable communal, elle accuse ces derniers de s’être rendu coupables d’infractions à la loi. Laquelle interdit, entre autres lors de ce genre d’événements, la présence d’animaux en état de gestation avancée, règle qui ne fut pas respectée dans le cas présent.

Ce n’est pas la première fois que la ville de Krombeke est épinglée pour non-respect du bien-être animal. Des démarches avaient déjà entrepris par le passé pour mettre un terme aux courses équines organisées dans les rues de villages, à l’origine de chutes et d’accidents fréquents. La balance avait alors penché en faveur des opposants aux « courses de rues ». Mais, comme le prouve cette nouvelle affaire, la surveillance est plus que jamais de mise.
Cécile Cassier
Photos © GAIA
echo-nature

Après avoir empoisonné et coupé en morceaux quelque 52 000 animaux (souris, rats, lapins, chiens, chats et cobayes), l'Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire coréen a fini par avoir des remords. Son équipe a organisé une cérémonie pour le repos de leur âme. Devant 100 pleureurs, un prêtre s'est adressé aux esprits des animaux : "Vos vies étaient précieuses, mais elles ont été sacrifiées sur l'autel de la santé de l'humanité. Puissent vos âmes n'avoir nulle rancune, ni envers Dieu, ni envers l'homme." Des anchois ont été donnés en offrande : qu'ils reposent en paix.

courrierinternational.com

Nous sommes en 2008, non?
Et pourtant...

C'est durant son sommeil, que Rais, un bébé de neuf mois a été mordu au doigt et griffé au visage par un rat.

Un rat aussi gros qu'un chat!

Rais vit dans ce logis, avec sa maman, sa soeur de 5 ans, ainsi que deux autres parents.

Cinq personnes...dans un "appartement" de 30 m2 au rez-de-chaussée d'un immeuble au Pré-Saint-Gervais, en Seine-Saint-Denis.

Rais a été transporté à l'hôpital Robert Debré à Paris.

Durant toute la nuit, la maman et des voisins ont tenté d'attraper le rongeur.

Une bête agressive qui, d'après la maman de Rais, a tenté plusieurs fois de leur sauter à la tête.

Le rat a été finalement terrassé au petit matin.

D'après les médecins, le bébé ne risque pas d'attraper la rage.

Mais sa petite soeur ne veut plus dormir dans l'appartement.
Elle a eu si peur.
Et répète à tout le monde que son "petit-frère" a failli être mangé par un rat...

(Source: Le Parisien)

Depuis le commencement du monde, d'innombrables événements historiques, grands ou petits, mettent en relief l'indéniable influence des animaux sur le cours des choses et des existences humaines. Les animaux ont été des vedettes adulées de toutes les formes de spectacle. Ils se sont distingués dans les exploits sportifs, et bien sûr au cours de toutes les guerres depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Dans les arts, à toutes les époques, ils ont fortement influé sur les peintres, les musiciens et les gens de lettres. On a vu des animaux bénéficier de testaments mirobolants ou encore se porter candidats à des élections démocratiques. Tantôt compagnons de misère, tantôt sujet de grandeur pour leur maître, ils ont aussi été martyrs, sacrifiés au nom de la science, de la religion et de la superstition. S'ils ont souvent été des protecteurs zélés de leur entourage, ils ont aussi mis leur force, leur intelligence et leur instinct au service du crime et de la délinquance.
À travers une énorme quantité d'anecdotes véridiques, de récits piquants, de témoignages hallucinants mais confirmés, de faits divers insolites mais attestés, les animaux démontrent qu'ils connaissent non seulement l'amour, la fidélité et l'abnégation, mais également la rancune, la vengeance, la violence et même le mensonge, pour certains.
Autodidacte, maladivement curieux, encyclopédiste du bizarre, archéologue du pire, briseur de tabous, rien n'arrête Martin Monestier dans sa quête de l'inimaginable, du scandaleux et de l'occulte. Livre après livre, cet enquêteur de l'extrême pousse l'érudition des incongruités et des extravagances humaines à son comble et révèle ainsi une histoire du monde telle qu'on ne l'a jamais écrite. " Encyclopédiste des comportements, de nos travers, de nos perversités, Martin Monestier s'est fait une spécialité du témoignage par KO ", dira un de ses confrères. C'est le cas, cette fois encore, avec ce dernier ouvrage insolite. Ses nombreux livres, au carrefour des sciences humaines et du journalisme, sont tous des œuvres de référence, sans cesse réédités et traduits en de nombreuses langues.
Editeur: Le Cherche Midi

Fair Oak, Hampshire, Angleterre – Un perroquet a alerté ses maîtres après qu’un incendie se soit déclaré dans leur habitation.

L’oiseau s’est violemment agité en poussant des cris stridents lorsqu’un incendie, qui s’était déclaré dans la cuisine, a gagné le salon de la famille Hall. Il a ainsi permis aux trois habitants des lieux (un père et ses deux enfants) de quitter leur maison en flammes, non sans avoir saisi sa cage au passage.

Francis Hall et ses deux enfants, Sam et Trevor, souffrent d’intoxication liée à l’inhalation de fumée mais leurs jours ne sont pas en danger.

NOUVELOBS.COM | 24.07.2008 | 17:57

Des généticiens de l'université d'Uppsala en Suède ont identifié la mutation génétique responsable de la robe blanche des chevaux.
Le cheval blanc a toujours eu statut particulier dans l’Histoire, les mtyhes et la littérature. Vénéré par les romains ou les grecs, il est encore de nos jours un symbole de fertilité adoré par des millions de paysans indiens. Curieusement, à leur naissance ces équidés ne sont pas forcément immaculés, leurs robes peuvent être brunes, châtains et même noires. La couleur blanche n’apparaît qu’à l’âge adulte entre six et huit ans, elle est due à une mutation génétique qui a été sélectionnée puis transmise de génération en génération. Aujourd'hui, environ un cheval sur dix porte la variation qui le fait grisonner puis blanchir avec l'âge.

Dans la revue Nature genetics, les chercheurs suédois signalent avoir non seulement identifié la mutation conduisant à ce phénotype, mais également déterminé le gène unique permettant de remonter jusqu'à un ancêtre commun, qui a vécu il y a plusieurs milliers d'années. Cette découverte est également d'un grand intérêt dans le domaine médical, car la mutation augmente le risque de mélanomes. Environ 75% des chevaux gris de plus de 15 ans ont un mélanome bénin, qui dans certains cas se transforme en tumeur maligne. L'étude présentée aujourd'hui offre donc de nouvelles informations sur une voie moléculaire qui pourrait induire le développement de tumeurs.

La mutation concernée, stimule fortement la croissance des cellules productrices de mélanine, ce qui conduit à un épuisement prématuré des cellules souches nécessaires à la pigmentation du poil, alors qu'elle favorise un élargissement de certains des mélanocytes responsables de la pigmentation de la peau.


J.I.
Sciences et Avenir.com
24/07/2008

Melbourne, Australie – Un lapin a prévenu ses propriétaires endormis qu’un incendie s’était déclaré à leur domicile.

C’est en griffant à la porte de la chambre à coucher que l’animal a alerté le maître de maison.

Réveillé par ses grattements, le propriétaire des lieux s’est rendu compte qu’un incendie s’était déclaré dans une pièce voisine et que la maison était envahie par la fumée.

L’incendie, qui a causé des dommages importants à la maison, a pu être maîtrisé par les pompiers.

Les propriétaires de la maison n’ont pas été blessés.

Une récente exposition a mis le feu aux poudres juridiques.

Une commission des élus de la ville de San Francisco a introduit un projet de loi qui permettrait de poursuivre pour délit ou crime tout artiste qui causerait « la mort, des souffrances ou des abus sur un animal », lors d'un happening.

elon Christine Garcia, commissaire de la ville à l'origine du texte, « si vous autorisez des forums pour qui ce genre de travail est acceptable, de plus en plus de personnes en produiront et leur réputation grandirait de par la souffrance subie par l'animal ». Son projet qui est toujours en cours d'élaboration doit encore passer quelques examens avant de devenir une loi.

Sa proposition n'est pas tombée de nulle part. Une récente vidéo de l'artiste franco-algérien Adel Abdessemed, diffusée au San Francisco Art Institute, montre l'artiste en train de tuer six animaux de ferme.

L'institution a dû fermer suite à ce happening, après que des ligues de défense des animaux ont lancé des menaces contre l'artiste et les dirigeants du SFAI. Pourtant, on avance que les méthodes utilisées par Adel reposent sur celles de la production alimentaire au Mexique et qu'aucune violence gratuite n'est pratiquée.

Le groupe In Defense of Animals, a tout de même envoyé une campagne d'emails à 30.000 souscripteurs pour réclamer la suspension de l'exposition de l'artiste. En France, l'an dernier, l'exposition avait eu cours : on constatait sur un vidéo l'abattage d'un mouton, un cheval, un bœuf, un porc, un bouc et une biche, tués d'un coup de marteau.



Rédigé par Nicolas.G, le dimanche 27 juillet 2008 à 11h03

AFP - Mercredi 30 juillet, 12h10

ANGERS (AFP) - Le 1er août, Hadrien, 17 ans, quitte son village de Valanjou (Maine-et-Loire) avec sa vache Camomille, une charolaise de 18 mois, pour parcourir à pied près de 1.200 km, un périple de quatre mois destiné à étudier les plantes au bord des chemins.
Le jeune homme a choisi sa compagne de route en septembre parmi les vaches du troupeau de ses parents, agriculteurs bio en Anjou. Depuis, il la dresse. "Je la mets en confiance surtout et lui montre que l'Homme est gentil", témoigne-t-il. Il a "fallu l'habituer à marcher en longe et lui faire accepter de porter des provisions sur le dos".

Mais Camomille "a son caractère" et Hadrien devra composer. Il a ainsi prévu de ne pas marcher plus de 20 km par jour et de s'arrêter au moins un jour par semaine.

"Ce qui est sympa dans le voyage, c'est que nous partons à deux", ajoute le jeune homme, pour qui la présence de la vache "va faciliter le contact avec les gens".

Hadrien s'arrêtera chez des agriculteurs bio que connaissent ses parents ou avec lesquels il a pris contact par internet. Mais il dormira surtout sous la tente ou chez l'habitant, selon les rencontres qu'il fera sur la route, car il "préfère l'aventure".

Le jeune bachelier (section S), qui s'est donné une année pour réfléchir à son avenir, "s'intéresse beaucoup aux vieux métiers". Il va ainsi rendre visite à des artisans "pour découvrir, voir autre chose" et en faire son "métier si ça (lui) plaît". Une halte de quelques jours est prévue chez un forgeron au château du Clos-Lucé à Amboise, puis chez un boulanger bio à Dénézé-sous-Doué.

Hadrien, qui "recherche d'autres modes de vie", passera enfin quelques jours près de Villeneuve-sur-Lot, chez un philosophe "qui a choisi de vivre en dehors de la société".

Comme ce dernier, le jeune voyageur a décidé de se nourrir de plantes, celles qu'il cueillera sur le bord de sa route. "Cela fait trois ans que j'en mange, je commence à bien les connaître", affirme Hadrien, qui a donné le nom de Camomille à sa vache en référence à l'emblème de Chemillé, la ville la plus proche de son domicile, "capitale française des plantes médicinales".

Le jeune homme, qui a obtenu deux bourses pour son voyage, va réaliser un "compte-rendu sur les noms vernaculaires des plantes" et ce qu'ils nous apprennent sur leurs vertus et leurs utilités.

En entreprenant ce voyage, Hadrien n'échappe pas aux références au célèbre film d'Henri Verneuil, "La vache et le prisonnier", avec le duo légendaire Fernandel/Marguerite. Mais, avoue-t-il, "je ne l'ai pas vu".

vendredi 01.08.2008, 05:24 - La Voix du Nord

Les animaux assurent ! Fini, le fauchage mécanique de l'herbe du Parc naturel urbain de Lomme ! Mini vaches, zébu, poneys, moutons et chèvres sont là pour nous montrer un exemple à suivre en matière de développement durable.

PAR ODETTE LAVALLEZ

lambersart@lavoixdunord.fr C'est Marjorie Deruwez qui - métaphore - tient les rênes actuellement de la tonte de quelque 30 ha d'espaces verts au Parc naturel urbain de Lomme. Une tonte écologique pour laquelle, les élus lommois ont opté, en validant le projet proposé par Marjorie Deruwez, le 15 juin dernier. Moyennant une subvention de 9 000 E à l'association du P'tit Chêne (un prix similaire aux frais occasionnés par une tonte mécanique, mais avec la pollution en moins des engins).

Auparavant, la tonte des herbes autour de l'enceinte de la ferme éducative, jusqu'à une haute butte qui fait quasi office de belvédère, était assurée par fauchage.

Dans la perspective de la constante amélioration du Parc naturel urbain, cette option pour la tonte écologique réalisée par des animaux bien sélectionnés permet de lier l'utile à l'agréable.

Il n'est guère qu'une clôture électrique qui oblige les promeneurs à contempler de loin ou à quelques mètres les animaux sans les toucher. Des races rustiques de vaches, chèvres, moutons, poneys qu'on ne verra pas à travers un grillage comme dans un zoo. D'ailleurs, les chemins de promenade permettent aux enfants (les premiers enthousiasmés) de trouver à qui le premier le zébu, à qui le premier aussi le mouton d'Ouessant. Il y a un aspect ludique dans cette opération que ne saurait négliger la ville de Lomme, désireuse un jour que le parc urbain rallie l'Espace naturel métropolitain, comme le précisait Roger Vicot, premier adjoint au maire, avant la Fête champêtre du 14 Juillet.

Quant à Marjorie Deruwez, passionnée qu'elle est, elle relate son installation sur le site de Lomme : « J'assure ici un pâturage tournant sur 30 ha ». Nous voilà près d'une parcelle de 6 ha : on trouvera le zébu, des vaches, des shetlands tous mini, et, bien plus loin où l'herbe est haute, des chevaux. Marjorie explique : « Nous mettons ensemble des animaux hétérogènes. On adapte en fonction du terrain. Cette année, ça a été un peu compliqué car on a dû démarrer sur une hauteur d'herbe importante. On a donc eu d'énormes besoins en troupeaux. Si on avait pu commencer en mars, on aurait eu moins d'animaux. » La responsable du site de tonte a donc réuni animaux miniatures et plus grands gabarits comme les chevaux pour aider les petits à aller plus vite. Il y avait effectivement beaucoup à manger !

D'ailleurs, c'est quoi au fait la nourriture ? Les chardons, les ânes en raffolent. Les chèvres, elles, vont ouvrir la route sur une hauteur de 1 m.

Le cheval ira plus haut. Et les orties... Celles-ci subissent plutôt les piétinements des chevaux et, une fois à terre, les mini animaux ou les chèvres mangent ce qui est en dessous.

La tonte par les animaux est sans aucun doute des plus écologiques. De surcroît tous les animaux sont suivis, vermifugés de manière spécifique. •

Southampton, Angleterre – Un jeune homme qui avait décidé de promener ses deux serpents dans un parc a été obligé de rentrer chez lui après que la police a été appelée sur les lieux par plusieurs personnes affolées.

Mesurant plus de 3,50 mètres, le python albinos de Danny Palmer a tout d’abord semé le trouble en se faufilant par un trou dans la carrosserie de la voiture du jeune homme, où il est resté coincé, obligeant une équipe de pompiers à se déplacer sur les lieux.

Après que le serpent soit ressorti par ses propres moyens, le jeune homme qui n’avait pas abandonné ses projets de promenade, s’est rendu au parc de Southampton avec son python et un autre reptile (un boa constricteur).

Mais l’homme et ses deux animaux ont finalement dû écourter leur sortie après que la police soit arrivée sur les lieux, prévenue par des promeneurs inquiets à la vue de ce spectacle hors du commun.

Inde - Le politicien Kishor Samrite s'est attiré les foudres des associations pour les droits des animaux en sacrifiant plus de 200 chèvres et quatre buffles après la victoire du Premier ministre indien Manmohan Singh.
Après que le gouvernement du Premier ministre indien Manmohan Singh a remporté un important vote de confiance au Parlement le 22 juillet dernier, Kishor Samrite s'est rendu au temple de Kamakhya, situé au Nord-est de l'Inde.

Là, il a sacrifié plus de 200 chèvres et quatre buffles pour célébrer cette victoire et ce, malgré les contestations de membres luttant pour les droits des animaux qui ont manifesté devant le lieu du sacrifice.

Kishor Samrite a défendu la pratique du sacrifice animal, déclarant qu'elle faisait partie de rites traditionnels ancestraux.

Campo Florido, Cuba - Une poule cubaine aurait battu le record mondial du plus gros œuf de poule pondu.
L'œuf, qui pèserait 180 grammes, devrait être enregistré dans le Guiness book des records si la "performance" est officiellement confirmée. Il battrait alors le précédent "tenant du titre", un œuf de 170 grammes qui avait été pondu sur les Iles Canaries.

La famille Martinez-Guerra, propriétaire de la poule ayant pondu cet oeuf hors normes, aurait prévenu les médias pour "faire partager au monde cette curiosité."

Nounouch a écrit:

Southampton, Angleterre – Un jeune homme qui avait décidé de promener ses deux serpents dans un parc a été obligé de rentrer chez lui après que la police a été appelée sur les lieux par plusieurs personnes affolées.

Mesurant plus de 3,50 mètres, le python albinos de Danny Palmer a tout d’abord semé le trouble en se faufilant par un trou dans la carrosserie de la voiture du jeune homme, où il est resté coincé, obligeant une équipe de pompiers à se déplacer sur les lieux.

Après que le serpent soit ressorti par ses propres moyens, le jeune homme qui n’avait pas abandonné ses projets de promenade, s’est rendu au parc de Southampton avec son python et un autre reptile (un boa constricteur).

Mais l’homme et ses deux animaux ont finalement dû écourter leur sortie après que la police soit arrivée sur les lieux, prévenue par des promeneurs inquiets à la vue de ce spectacle hors du commun.

Sont vraiment tarés ces rotis de boeuf !

Allez loulou on continue:

Cumbria, Angleterre – Jonathan Denby, éleveur, a fait appel à la violoniste Amy Worth pour jouer du violon à ses veaux.
L’éleveur de la région de Cumbria a constaté que la musique détendait ses bêtes. Il a alors fait appel à la violoniste pour leur jouer des airs. Et lorsque cette dernière ne peut se déplacer, ce sont des CD de Bach ou de Beethoven qui prennent le relais. Les veaux ont également régulièrement droit à des massages.La raison d’autant d’attentions, c'est que ces jeunes bovins sont des Wagyu, une espèce japonaise importée directement par l'éleveur, dont la viande est considérée comme l’une des meilleures - et donc, l'une des plus chères - au monde. Ces veaux sont les premiers nés en Angleterre et ont pour but de fournir des biftecks premier choix aux sujets de sa Majesté.Le violon, en relaxant les bovins, améliorerait la qualité de la viande tandis que les massages la rendraient encore plus tendre.

Un endroit pour découvrir en douceur le contact avec les animaux.

Une petite fermette au lieudit « La Maladrerie » du côté d'Orgères-en-Beauce (28) recueille et offre aux animaux abandonnés un espace où ils retrouvent paix et sérénité. Des visites de cette ferme peu commune sont proposées, de quoi faire plaisir aux enfants pendant les vacances !

Entre les bois de Cambrai et la plaine immense qui les borde, se trouve le lieu-dit « La Maladrerie » qui cache une jolie petite fermette, la Cabriole.

Sous de modestes petits toits plats, entourés d'enclos, des centaines d'animaux de la ferme et du monde y séjournent, été comme hiver. « C'est une sorte d'asile pour animaux abandonnés qui retrouvent ici la paix », explique Guy Guillon, président de l'association.

Le nombre d'animaux est si varié que l'on passerait des jours à les observer sans se lasser. À l'entrée, dans de grandes cages, en attendant une volière, les perruches et autres oiseaux exotiques sont les derniers arrivés.

Loin du bâton du berger nomade, des moutons du Cameroun et des chèvres de différentes races broutent l'herbe ou bondissent à l'approche du visiteur. « Le but est de montrer les animaux au public et de montrer leur mode de vie », rappelle Guy Guillon. On rencontre certains animaux rares comme les zébus, les ratons laveurs farouches et hérissés, les porcs-épics, etc.

De l'autre coté de l'allée, on retrouve des animaux plus familiers comme des ânes, des chevaux et autres animaux de basse cour.

La découverte de la ferme prévoit généralement une visite guidée le matin, suivie d'un pique-nique sur l'aire de jeux. Pour mieux se familiariser avec les animaux, différentes approches à travers les soins, l'alimentation, le nettoyage, et de jolies promenades sont également proposées.

La Cabriole, au lieu-dit la Maladrerie - Orgères-en-Beauce (28)
Ouvert tous les jours sauf les dimanche et lundi
Entrée adultes 5 €, enfants moins de 12 ans 3,50 €.
Informations au 02.37.99.79.88.

Nounouch a écrit:

Allez loulou on continue:

Cumbria, Angleterre – Jonathan Denby, éleveur, a fait appel à la violoniste Amy Worth pour jouer du violon à ses veaux.
L’éleveur de la région de Cumbria a constaté que la musique détendait ses bêtes. Il a alors fait appel à la violoniste pour leur jouer des airs. Et lorsque cette dernière ne peut se déplacer, ce sont des CD de Bach ou de Beethoven qui prennent le relais. Les veaux ont également régulièrement droit à des massages.La raison d’autant d’attentions, c'est que ces jeunes bovins sont des Wagyu, une espèce japonaise importée directement par l'éleveur, dont la viande est considérée comme l’une des meilleures - et donc, l'une des plus chères - au monde. Ces veaux sont les premiers nés en Angleterre et ont pour but de fournir des biftecks premier choix aux sujets de sa Majesté.Le violon, en relaxant les bovins, améliorerait la qualité de la viande tandis que les massages la rendraient encore plus tendre.

Eh bien je vois que tu rends les armes alors à quoi bon t' achever !

jeudi 07.08.2008, 04:52 - CHRISTIAN LARIVIÈRE www.lavoixdunord.fr

L'échappée belle a mal fini pour elle. Au prix d'une invraisemblable cavale dans les égouts, une vache échappée mardi de l'abattoir de Noeux-les-Mines n'en a pas moins trompé pendant 36 heures son destin de viande de boucherie.

Les recherches entreprises mardi vers 9 heures pour retrouver la fuyarde n'ont abouti qu'hier en fin d'après-midi. L'animal, qui après avoir enfoncé une clôture avait tenté de se faire la belle avec l'une de ses congénères à travers la rue du Pré, s'était évanoui dans le paysage, alors que sa compagne d'évasion était rattrapée.

La présence de poils et de traces de sang à l'entrée de la Loisne canalisée, en contrebas de la ligne de chemin de fer, laissait supposer que le bovin avait fui le couteau dans cette partie du réseau d'assainissement collectant des eaux de pluie. Les agents de la communauté de communes en ont soulevé les regards sur plusieurs centaines de mètres. Sans rien détecter.

Hier matin, une dizaine de pompiers de Béthune et de Noeux-les-Mines sont venus à leur rescousse pour explorer plus à fond les canalisations. Il leur a fallu des heures de persévérance pour finir par apercevoir la queue de la bête, coincée sous la place de l'église Saint-Martin.

Remonter à la surface cette charolaise de 600 kilos, incapable de faire demi-tour et refusant de reculer plus obstinément qu'un âne était une autre paire de manches. Redoutant l'orage dans cette partie basse de la ville, les pompiers préconisaient de faire vite. Les salariés de l'abattoir, exploité par le groupe agroalimentaire Bigard, se refusaient à envisager l'idée de débiter l'animal dans un espace aussi réduit.

Finalement, alors que la bête était anesthésiée par un vétérinaire, puis euthanasiée, il a été décidé de faire intervenir une entreprise de travaux publics pour ouvrir une tranchée. La police a isolé les lieux de l'intervention en plein centre-ville, en bordure de la route de Béthune à Arras.

Une plaque de béton ayant freiné la progression du marteau piqueur, il était plus de 21 heures quand un espace suffisamment vaste a été dégagé. Un quart d'heure plus tard, hissée par le bras d'une pelle mécanique, l'aventurière retrouvait le plancher des vaches que ses sabots n'useront plus. En s'enfonçant dans les entrailles de la cité minière, peut-être cherchait-elle la route de ces Indes noires que Jules Verne avait situées dans une mine de charbon. Dans le fol espoir que dans ces Indes-là aussi la vache était un animal sacré respecté du couteau du boucher. Elle s'est cassé le museau sur une impasse.

dommage qu elle ait pas trouvé refuge dans une feme d amoureux ou je sais pas où...

Ce python de 70 cm a été abandonné dans un appartement que ses locataires avaient quitté sans laisser de trace.
Courtoisie SPA

Marie-Christine Bouchard
LA TRIBUNE
Sherbrooke

Après avoir retrouvé un iguane dans un arbre la semaine dernière, voilà que la Société protectrice des animaux (SPA) de l’Estrie a fait une autre étonnante découverte cette semaine: un python de 70 cm a été abandonné dans un appartement du centre-ville.

«Le locataire avait quitté les lieux quelques jours plus tôt sans laisser de trace. Quand le concierge a ouvert la porte de l’appartement, il a vu le python qui se promenait librement dans l’appartement. Il a aussitôt refermé la porte et nous a appelés», explique Pascal Gervais, porte-parole de la SPA en Estrie.

Le python, qui vivait dans des conditions tout à fait inadéquates pour son espèce, a été amené à la SPA. Dans quelques jours, il devrait prendre la route d’un refuge spécialisé pour les reptiles de la région de Montréal.

C’est d’ailleurs le chemin qu’a aussi emprunté l’iguane retrouvé la semaine dernière étant donné que ses propriétaires ne se sont pas manifestés et qu’aucune famille d’accueil ne lui a ouvert ses portes.

Il est rare que la SPA capture de tels reptiles abandonnés par leurs propriétaires. Puisqu’il s’agit cependant d’un deuxième incident en moins de deux semaines, le porte-parole estrien de la SPA tient à rappeler qu’il n’est absolument pas conseillé de se procurer de tels animaux au Québec.

«Un bon nombre d'animaux sauvages et d'animaux exotiques ont des conditions de vie misérables en captivité, leur existence se résumant trop souvent à languir dans une cage trop petite. Les gens acquièrent souvent un animal exotique sur un coup de tête. Après un certain temps, les désagréments du quotidien et l'investissement particulièrement important en temps, en espace et en argent ont raison de leur impulsion initiale», soutient Pascal Gervais.

C’est pour cette raison que la SPA déconseille fermement l’acquisition de tels animaux exotiques. «Nous encourageons plutôt l'adoption des animaux de compagnie traditionnels, soit les chiens et les chats. Domestiqués depuis des milliers d'années, ces derniers dépendent maintenant de nous. Les animaux sauvages et exotiques, même ceux nés en captivité, ne sont pas adaptés à la vie avec les humains.»

Yves Bélanger a reçu une amende pour avoir circulé avec son cheval sur une voie publique. Il a finalement été acquitté, car il se trouvait sur cette traverse de chevaux du rang Saint-Malo.

Photo: Sylvan Mayer

Paule Vermot-Desroches
Le Nouvelliste


(Trois-Rivières) Habitué de faire de l'équitation près de chez lui, Yves Bélanger a eu toute une surprise en juin dernier, lorsqu'il s'est vu remettre une contravention de 100 $ par un policier pour s'être promené sur la rue avec son cheval. Le hic, c'est qu'au moment de «l'infraction», le résident du secteur Sainte-Marthe se trouvait justement... sur une traverse de chevaux du rang Saint-Malo.

«Je n'en revenais pas. C'était tellement ridicule, parce qu'à une centaine de mètres derrière nous, on voyait clairement la pancarte jaune avec un cheval dessus», raconte-t-il. M. Bélanger a contesté sa contravention en cour municipale et a effectivement été acquitté dernièrement. Il n'a pas eu à payer l'amende.

C'est qu'il existe une réglementation municipale à Trois-Rivières concernant la circulation à cheval. Bien qu'on pourrait croire qu'il s'agit d'une loi sortie tout droit du XIXe siècle, elle est toujours utile dans certains secteurs de la ville où l'on retrouve des écuries, comme le secteur Pointe-du-Lac, le secteur Sainte-Marthe ainsi que les Vieilles-Forges.

Le règlement stipule que «nul ne peut faire de l'équitation dans les rues de la Ville à moins que la signalisation ne le permette. Le conducteur ou la personne en charge d'une voiture hyppo-mobile ou d'un cheval doit, lorsqu'il est en mouvement, monter le cheval ou être dans la voiture, ou bien marcher à côté».


«C'est vrai que nous n'avons pas souvent recours à cette loi, mais elle existe. Le citoyen semblait bel et bien respecter la loi, puisqu'il a été acquitté», souligne Yvan Toutant, porte-parole de la Ville de Trois-Rivières.

Pour sa part, Yves Bélanger signale qu'à sa connaissance, la plupart des municipalités au Québec ne réglementent pas à ce point la circulation à cheval. Celui qui a déjà été impliqué dans la Fédération équestre du Québec croit qu'il importe maintenant aux différentes associations équestres de sensibiliser les conseils municipaux afin de faire changer les mentalités.

M. Bélanger conçoit bien que certains citoyens puissent ne pas aimer voir un cheval se promener près d'une voie publique, mais que dans les secteurs ruraux, il faut s'attendre à ce genre de choses. «Nous ne sommes pas des fous! On n'ira pas se promener avec nos chevaux sur le boulevard des Forges en pleine heure de pointe. La plupart du temps, lorsque nous circulons sur la voie publique, c'est en campagne et c'est pour se rendre d'une trail à l'autre. C'est d'ailleurs pourquoi on annonce des traverses de chevaux», lance-t-il.

Une tortue luth en balade à Concarneau


La tortue luth est une grande voyageuse mais de là, à la retrouver sur les côtes bretonnes, il y a de quoi être étonné.

Ce vendredi un couple de Concarneau, dans le Finistère a aperçu dans l'anse Saint-Laurent une tortue Luth, apprend le Télégramme.

La tortue Luth (Dermochelys coriacea) est la plus grande tortue du monde avec sa carapace qui peut atteindre presque 2m et son poids qui peut avoisiner la tonne chez les mâles. C'est également la seule tortue marine à ne pas posséder d'écailles sur sa carapace, mais une peau bleutée tachetée de blanc ayant l'aspect d'un cuir velouté.

Grande voyageuse, elle vit de préférence dans les eaux chaudes de l'Océan Atlantique, Indien, Pacifique et en Mer Méditerranée. Certaines Luth ont cependant été observées dans les eaux froides de Norvège. Son alimentation est composée essentiellement de méduses (qu'elle confond malheureusement parfois au péril de sa vie avec des sacs plastiques), mais aussi de poissons ou crustacés.


Selon le Télégramme, la dernière tortue luth aperçu en Bretagne remonte à 1925. Le sous-secrétaire d'État Jules-Louis Breton avait découvert le spécimen, rapporté du Pays Bigouden. Cette dernière était morte. Ici, " elle était bien vivante, quoique un peu désorientée et portait des cicatrices ", Elle nageait près du rivage et faisait au minimum 1,50 m d'envergure sur autant de long " assure Anaïs Georget.

Interrogé à ce sujet, Monsieur Samuel Iglesias, du laboratoire maritime de Concarneau ne s'explique pas les raisons de la venue de la tortue si près des côtes.