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Chaque année, la société protectrice des animaux (SPA) de Douai recueille les animaux perdus ou abandonnés par leurs maîtres. Été et vacances de Noël sont les pires périodes. Cette situation ne peut plus durer aux yeux des administrateurs du refuge. Ils lancent aujourd'hui un appel au secours.

PAR C. LEGRAND-STEELAND

douai@lavoixdunord.fr Derrière le portail de métal vert, un chemin de cailloux gris. Et un vieux bâtiment qui résonne de dizaine d'aboiements. Ça sent le chien, la croquette et ça respire la misère de ces bêtes, pour la plupart abandonnées.

Bienvenue à la SAPAD, société autonome de protection des animaux du Douaisis. Rattachée à la SPA, elle recueille depuis 1978 ces ex-compagnons à quatre pattes préférés de la famille. Dix-huit administrateurs et une quarantaine de bénévoles se sont donnés pour mission de leur retrouver un foyer. En attendant, ils tentent de leur rendre confiance en l'Homme. À ce titre, ils cherchent des familles d'accueil et des promeneurs.

Problème : le refuge est aujourd'hui arrivé à saturation. « On redoute toujours juin et juillet. En fait, c'est difficile jusqu'au 15 août », avoue Bernard Szymanski, son président. Bêtes noires de la SPA, les congés d'été font grimper en flèche les chiffres des abandons. La semaine dernière, onze chiens ont été mis en fourrière. La SAPAD a huit jours pour retrouver leurs propriétaires. Passé ce délai, elle les proposera à l'adoption. « On essaye de ne pas euthanasier », précise l'un des vétérinaires du refuge.

« Je ne comprends pas comment on peut abandonner son chien et partir l'esprit tranquille en vacances », soupire Annette Wiatr, responsable des promenades. « Le Nord est pourtant l'une des régions où il y a le plus de structures pour accueillir les animaux,s'irrite le vétérinaire. L'abandon n'est pas obligatoire », poursuit-il. Lorsqu'on ne peut pas les emmener en vacances ou les placer en pension, chiens et chats peuvent être nourris par des amis, de la famille ou des voisins. « On essaye de faire entrer cela dans la tête des gens », lâche Bernard Szymanski.

La situation des chats énerve particulièrement les administrateurs. « Il y en a trop ! », s'agace Annette Wiatr. « Les gens sont irresponsables, poursuit-elle. Quand une chatte fait des petits, ils ne savent qu'en faire alors ils les jettent à la rue et ils prolifèrent. » Un document de la SAPAD explique qu'un couple de chats peut engendrer une descendance de 20 736 individus en quatre ans !

Prises de pitié, nombre de bonnes âmes nourrissent les chats errants. « Mais un chat bien nourri se reproduit », avertit le vétérinaire. Pas question de les exterminer. La solution réside dans la stérilisation. « Parce que les chats ont aussi leur utilité : sans eux, souris et rats proliféreraient ! », nuance Valérie Aubert, promeneuse bénévole.

Et si vous êtes de ceux qui n'aiment ni les chiens, ni les chats, sachez que le refuge héberge une chèvre et une tortue de Floride. • >

SAPAD, 8, rue Maryse-Bastié à Douai. Ouvert 7 jours sur 7 de 11 h à 12 h et de 14 h à 17 h (fermé les jours fériés). Tél : 03 27 87 09 22.

Un passant a été mordu aux mains alors qu’il tentait de soustraire son chien, qu’il tenait en laisse, à l’attaque d’un bull-terrier. L’incident s’est passé mardi soir, dans le quartier de Kérourien. Le molosse était en divagation. Des riverains ont appelé les secours. L’unité spécialisée des sapeurs-pompiers a pu capturer le chien dangereux. L’animal n’était pas tatoué. Il avait des traces de morsures sur tout le corps, du poitrail jusqu’aux oreilles. La police estime qu’il a dû servir à des combats clandestins de chiens. Une procédure d’euthanasie, prévue par la nouvelle loi pour prévenir les attaques de chiens dangereux, était en cours.

Ouest France 17:18 - mercredi 23 juillet 2008

CLICANOO.COM | Publié le 22 juillet 2008


Depuis un mois, une loi renforçant les mesures de prévention et de protection des personnes est entrée en vigueur. Toute morsure de chien doit désormais être déclarée et les propriétaires de chiens dangereux doivent soumettre leur animal à l’évaluation comportemental par un vétérinaire.

Vous ne le savez sans doute pas, mais depuis un mois toute morsure de chien doit être déclarée dans les quinze jours à la mairie de la commune où habite le propriétaire du chien. Une mesure qui fait partie de la loi promulguée le 21 juin dernier par le président de la République et qui vise à mieux protéger les personnes contre les chiens de première et deuxième catégorie, dits “dangereux”.

Mais la décision phare de cette loi est l’obligation pour les propriétaires de ces chiens à soumettre leur animal à une évaluation comportementale par un vétérinaire. Cette évaluation doit être réalisée avant le 31 décembre 2008 pour les chiens de première catégorie et avant le 31 décembre 2009 pour les chiens de deuxième catégorie. Elle est exigible pour les chiens âgés de plus de 12 mois mais ne peut être réalisée avant l’âge de 8 mois. Les résultats de cette évaluation seront transmis au maire par le vétérinaire.

Par ailleurs, tous les propriétaires de chiens de première et deuxième catégorie devront être titulaires avant le 31 décembre 2009 d’une attestation d’aptitude sanctionnant une formation portant sur l’éducation et le comportement canins, ainsi que sur la prévention des accidents. Les conditions de délivrance de cette attestation n’ont pas encore été établies, elles le seront prochainement par un décret. Ce qui est certain, c’est que l’évaluation comportementale et l’attestation d’aptitude se rajouteront à la liste des pièces exigibles lors de la déclaration obligatoire de ces chiens à la mairie. En cas de non-respect de ces dispositions, les propriétaires encourent des amendes allant jusqu’à 1 500 euros et, en cas d’atteinte involontaire à l’intégrité d’une personne commise par un chien ne respectant pas la loi, les propriétaires encourent des peines de prison comprises entre 3 et 7 ans. En 2006, 513 chiens “dangereux” avaient été enregistrées à la Réunion

si si nous le savons !

Un Japonais qui avait passé une annonce dans le journal pour retrouver son chien a été victime d'un ulcère d'estomac en raison de centaines d'appels passés jour et nuit par un lecteur qui voulait juste "embêter quelqu'un", a indiqué mercredi la police, qui a arrêté le malotru.

Le coupable, âgé de 34 ans, a avoué à la police d'Akita (nord) qu'il
avait choisi au hasard une annonce dans le journal et appelé le numéro de téléphone jusqu'à trente fois par jour pendant deux mois, raccrochant aussitôt que son interlocuteur décrochait ou laissant des messages silencieux sur le répondeur.

"J'étais énervé et je voulais appeler quelqu'un pour l'embêter. Je me
sentais réconforté à l'idée que l'autre personne souffrait", a-t-il
expliqué après son arrestation mardi, selon un porte-parole de la police.

La victime, âgée de 63 ans, "est devenue extrêmement stressée et a
souffert de problèmes psychologiques qui ont débouché sur un ulcère
d'estomac à cause de ces appels", a-t-il ajouté.

Finalement alertée par le sexagénaire, la police a facilement identifié l'auteur des appels grâce à son numéro de téléphone et l'a placé
en garde à vue. On ignore si le chien a finalement été retrouvé. (afp/7sur7)

Cardiet à son domicile, à Plouay. Après quelques sonneries, ce n’est pas la voix d’Hélène Cardiet qui se fait entendre mais des halètements suspects. La correspondante imagine alors que son amie est au plus mal et prévient les pompiers qui arrivent rapidement sur place.


Un standardiste à quatre pattes

Entrés dans la maison, ils ne peuvent que constater l’absence de la propriétaire mais la présence bien réelle d’Ulysse, le caniche Toy de la maison. Le standardiste à quatre pattes adore cet appareil posé à sa portée sur un banc coffre et n’hésite pas à décrocher le combiné d’un coup de pattes quand la sonnerie se fait trop insistante. Le téléphone est maintenant hors de portée d’Ulysse qui n’a pas eu les félicitations de sa maîtresse.

letelegramme.com

Reuters - il y a 55 minutes

SAO PAULO (Reuters) - Un garçon de 11 ans connaît actuellement son 'quart d'heure de gloire' au Brésil après avoir mordu un pitbull qui l'attaquait et perdu une canine dans la bataille.

Gabriel Almeida vit dans la banlieue de Belo Horizonte, dans l'Etat de Minas Gerais, et jouait dans l'arrière-cour chez son oncle quand le chien lui a sauté dessus, a rapporté jeudi la presse locale.

Le garçon s'en est tiré en mordant l'animal au cou, des passants achevant de le tirer de l'emprise du chien.

Depuis, le jeune héros est sur tous les plateaux de télévision pour raconter la mésaventure qui lui a valu quatre points de suture au bras.

Peter Murphy, version française Patrice Mancino

www.varmatin.com

La soirée trop arrosée d'un couple de Sanaryens, propriétaire d'un malinois (une race de chien de berger belge), a tourné au drame, mercredi soir.

La scène commence aux alentours de 23 heures. La femme, âgée d'une quarantaine d'années, perd l'équilibre et tombe à terre, « vraisemblablement à la suite de l'ingestion d'une très grande quantité d'alcool pendant la journée et la soirée », explique le commissaire de Sanary-sur-Mer, Dominique Nivagiolli.

Le chien s'approche alors de sa maîtresse. Peut-être attiré par l'odeur d'une coupure récente au menton, il commence à renifler, puis lèche la plaie saignante. Mais pour des raisons difficilement explicables (lire par ailleurs), le malinois ne va pas en rester là. Il commence à mordiller la joue de la femme endormie.

Anesthésiée par l'alcool

La quadragénaire ne réagit pas, trop ivre pour se rendre compte de quoi que ce soit.

Le chien perd alors tout contrôle. Il plante ses crocs dans le visage de sa maîtresse et se met à dévorer sa joue. Le malinois en arrache une partie avant de s'attaquer à la lèvre. Malgré la douleur, la femme ne ressent rien : la quantité d'alcool ingérée l'aurait complètement anesthésiée.

Ce n'est qu'après plusieurs minutes que le compagnon, probablement tout aussi ivre, se serait aperçu de l'accident. Il trouve sa femme allongée, gencives et dents à vif, avec plusieurs centimètres carrés de peau en moins.

Il prévient les secours. Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers hospitalisent de toute urgence la femme, qui devrait bénéficier d'une opération d'autogreffe.

Quant au chien, jugé « très calme » par les policiers qui l'ont trouvé sur place, il ne sera a priori pas euthanasié. Le couple étant propriétaire du malinois, aucune plainte n'a été relevée par le parquet.
Olivier Marino

On entend souvent des phrases inexactes comme " s’il a agressé, c’est parce qu’il est malade " ou encore "s'il a mordu, il mordra à nouveau" qui ont comme suite, au mieux l'administration de psychotropes, au pire l'euthanasie de l’animal. Il est rapide alors de conclure que puisqu’il est malade, il faut le soigner. Or, c'est considérer comme pathologie ce qui ne l’est pas car l’agression n’est ni anormale ni inutile : elle sert à préserver l’individu.
De même, un chien qui a mordu ne présente pas forcément une anomalie de comportement. Il s’agit d’analyser la situation et de chercher ce qui a provoqué sa réaction d’agressivité. Il est rare qu’un animal attaque sans prévenir (sauf dans certains cas comme un dressage spécifique au mordant, une douleur, la peur) mais malheureusement son avertissement n’est pas souvent reconnu comme tel. Rappelons que la menace est faite pour éviter la morsure : le chien tente de prévenir l’autre que s’il continue ce qu’il a entrepris, il risque d’y avoir des conséquences sérieuses pour lui. Si la menace est inefficace et que l’autre individu ne cesse pas, il passera à la conduite agressive proprement dite (la morsure).
Un chien a presque toujours une raison de menacer et de mordre, même si cette raison nous est humainement incompréhensible. Sans tomber dans l’anthropomorphisme, on peut tenter de se mettre à sa place, de saisir sa logique de fonctionnement et de se dire qu’en tant que chien, on aurait peut être fait la même chose que lui.
Bien sur il arrive qu’un réel trouble organique ou même comportemental soit la cause d’une conduite agressive, et il ne faut surtout pas négliger cette possibilité. Mais n’oublions pas que les chiens domestiques sont parfois contraints de vivre dans des contextes tellement impropres à leurs besoins naturels qu’il n’est pas surprenant de voir apparaître des attitudes non désirées…qui n’en font pas pour autant un chien malade ! D’ailleurs les comportementalistes –qui ne sont pas vétérinaires- s’intéressent précisément aux conditions environnementales et ne s’occupent nullement de la santé de l’animal mais plutôt de ses manières de réagir aux contraintes imposées. Il suffit parfois d’opérer quelques changements dans le contexte familial pour voir apparaître de nouvelles réponses de la part du chien.


Article écrit par Laurence Bruder Sergent
Comportementaliste
www.comportement-canin.com

Auteur du livre : La cause des chiens

LIèGE ven 25 juillet RTL.be

Les cas de maltraitance envers les animaux de compagnie se suivent mais ne se ressemblent pas, sauf au niveau de la cruauté dont les maitres peuvent faire preuve. Le dernier fait en date s’est passé à Herstal en périphérie liégeoise. La police y a saisi un chien qui se trouvait attaché par une chaîne à un piquet depuis une quinzaine de jours dans un jardin. Les maîtres de l'animal étaient partis en vacances, en laissant de la nourriture et de l'eau à proximité, mais pas en suffisance.

Le chien, qui se trouvait en état de déshydratation depuis plusieurs jours, avait tout mangé et tout bu. Heureusement, des voisins l'ont nourri et ont prévenu la Société protectrice des animaux (SPA), qui est à son tour intervenue avec la police, sur ordre du parquet de Liège. Le chien a été ramené à la SPA. Quant à ses maîtres, ils risquent des poursuites dès leur retour. Ils devraient à tout le moins rembourser les frais engendrés par la saisie.

Liunan, Chine – Un couple a été surpris en train d’essayer d’apprendre à conduire à leur caniche sur une voie express.


La police, qui avait repéré le véhicule en raison de son allure très lente, a découvert que la conductrice ne contrôlait que les pédales de la voiture, laissant au chien le soin de gérer le volant.

Le couple, qui a reçu un avertissement de la part des policiers, a déclaré qu’il avait eu cette idée en voyant la route presque vide et les bonnes conditions météo.

Belle Obby peut pas conduire voyons!

Un randonneur de 27 ans a fait une chute de plusieurs mètres, en tentant de récupérer son chien qui était tombé au bas d'une pente, vendredi soir dans le canton de Bâle-Campagne. Le Suisse souffre de contusions et de blessures légères à la tête et au visage.

Il a eu de la chance dans son malheur, a commenté la police de Bâle-Campagne. Le jeune homme faisait une promenade avec son amie et son chien, lorsque le toutou a glissé dans un talus. La jeune femme a tenté de remonter l'animal, aidée par son ami. Ce qu'elle a réussi à faire, mais c'est alors que le randonneur a glissé le long de la pente sur une cinquantaine de mètres, avant de chuter de plusieurs mètres.

L'amie a donné l'alerte. Trente-cinq personnes et un hélicoptère ont été mobilisés à la recherche du randonneur. Ce dernier a été retrouvé peu après le déclenchement des opérations, il a réussi à remonter sur un chemin qui se situait en contrebas de l'endroit d'où il avait chuté.

Tandis que son maître était emmené à l'hôpital de Liestal, le chien, souffrant de blessures légères, a été soigné par un vétérinaire.
(ats / 26 juillet 2008 12:48)

Qu'il vous ait accompagné en vacances ou qu'il soit resté chez vous ou en pension, votre chien devra, comme vous, se réadapter à la vie quotidienne lorsque les vacances seront terminées…

La fin des vacances…

Pour la plupart d’entre nous, les vacances permettent de se détendre et d’abandonner, l’espace d’un instant, les règles qui régissent notre quotidien le reste de l’année. Si votre ami canin a eu la chance de partager ces moments privilégiés avec vous, il aura besoin d’une période de réadaptation à son retour. S’il n’a pas pu vous accompagner, la vie sans vous et dans un environnement inhabituel va aussi perturber son quotidien: la joie des retrouvailles passée, il faudra immédiatement reprendre les bonnes habitudes…


S’il est parti avec vous

A votre retour, il est recommandé de poursuivre les traitements préventifs contre les parasites (puces, tiques) qui avaient été entrepris lors de votre départ. En outre, il convient de vérifier consciencieusement l’état de ses oreilles et des ses yeux, les vacances à la campagne et à la mer prédisposant votre ami aux petites blessures. En effet, le sable peut irriter les yeux, les oreilles et la peau, notamment entre les doigts. Les coquillages cassés peuvent provoquer de petites coupures et les champs de céréales regorgent d’épillets (petits débris végétaux pointus) qui peuvent se loger dans l’oreille ou dans l’œil et y induire une inflammation sévère.
Il convient également de réhabituer progressivement votre chien à la vie à la maison ou en appartement, après une période de vie en plein air en compagnie presque constante de la famille. Dans ce cadre, de grandes promenades dans la nature lui feront le plus grand bien! De plus, les vacances sont souvent un moment de détente et d’oubli des habitudes quotidiennes. Il convient de remettre les choses en place dès votre retour afin que votre chien conserve ses bonnes habitudes (dormir hors de votre chambre, manger à heures fixes…)


S’il a dû attendre votre retour

Si vous n’aviez pas la possibilité de partager vos vacances avec votre ami et qu’il est allé en pension, il est important de réaliser un check up dès votre retour. Il convient notamment de vérifier son poids: peut-être a-t-il moins mangé, perturbé par votre absence. A l’inverse, il a pu recevoir un aliment différent ou une quantité plus importante de gâteries ayant occasionné un surpoids. Dans les deux cas, une correction rapide du régime alimentaire sera nécessaire afin que votre ami retrouve son poids idéal. En outre, s’il a reçu un aliment inhabituel durant votre absence, il peut être victime de troubles intestinaux: surveillez ses matières fécales et la présence éventuelle de vomissements. Dès votre retour, il convient également de le traiter contre les parasites (puces, tiques), car la cohabitation avec d’autres animaux dans les pensions peut être une source de contamination de votre chien. Enfin, la gale des oreilles, causée par des acariens, est aussi une affection très contagieuse que votre ami peut contracter suite à des contacts avec d’autres animaux. Si ses oreilles semblent sales et/ou inflammées, n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire.


29/07/2008
Anne Pensis, vétérinaire pour e-santé

Chhotu
Photo BBC

Un chien a été traduit en justice dans l'État indien de Bihar. Nommé Chhotu, l'animal est accusé d'avoir troublé la paix en mordant plusieurs personnes.

Les policiers ont demandé qu'une action sévère soit prise contre lui. Ses propriétaires affirment pour leur part qu'il n'a attaqué que des cambrioleurs.

Ce n'est pas la première fois que Chhotu a des ennuis avec la justice. En 2003, un juge l'a condamné à mort pour les mêmes raisons. Des militants pour les droits des animaux ont cependant fait renverser la décision.

Chhotu sera de retour devant le tribunal le 5 août prochain.

NOUVELOBS.COM | 28.07.2008 | 18:49

L'homme de 59 ans s'était rendu au commissariat pour porter plainte pour le vol de son chien, qu'il avait en fait laissé dans une voiture. Sa garde à vue, pour mauvais traitement de son animal, a pris fin lundi après-midi.

Le maître-chien a été relaché lundi après-midi à Courbevoie (Hauts-de-Seine) après près de 24 heures de garde à vue, a-t-on appris lundi 28 juillet de source policière. Il avait laissé son chien dans sa voiture. L'homme comparaitra devant un tribunal de police.
Les pompiers sont intervenus, dimanche soir vers 17h00 avec l'aide du Service pour l'assistance et le contrôle du peuplement animal (Sacpa), pour ouvrir la voiture dans laquelle l'homme de 59 ans avait abandonné son compagnon.
Le rottweiler au "comportement agressif" avait en effet été signalé par des passants, une première fois vers 15h15 et une deuxième fois peu avant 17h00, selon la même source.
Mais le maître-chien, âgé de 59 ans, qui travaille pour une société de sécurité, s'est rendu au commissariat vers 20h00 pour porter plainte pour le vol de son animal. Il a immédiatement été interpellé par les policiers pour mauvais traitement de son chien.

Nord Eclair - 27/07/2008

La loi sur les chiens dangereux renforce les contraintes sur les propriétaires de molosses. En attendant les décrets d’application, les professionnels s’interrogent sur l’efficacité du texte.
Promulguée et inscrite au journal officiel fin juin, la loi renforçant les mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux n’a toujours pas d’effet, faute de décret d’application. Du côté du ministère de l’Intérieur, pas de rédaction prévue à l’agenda.
D’après la loi du 20 juin dernier, pour se promener en toute légalité avec son molosse, le propriétaire devra désormais détenir une attestation d’aptitude à la détention d’un chien dit « dangereux ». Attestation obtenue à l’issue d’une « formation portant sur l’éducation et le comportement canins, ainsi que sur la prévention des accidents » dont le contenu n’est pas encore défini. Une certitude cependant : les frais seront à la charge du maître. Cette attestation sera doublée d’un permis de détention délivré par le maire. Ce dernier pourra également demander à un vétérinaire agréé d’effectuer une évaluation comportementale de l’animal pour en déterminer la dangerosité.

Des mesures contraignantes
L’objectif affiché est de responsabiliser les détenteurs de molosses, mais a surtout de quoi décourager les amateurs de grosses babines. Isabelle Derammelaere, psychologue comportementaliste éducateur canin à domicile, voit déjà de moins en moins de pitbulls. « À terme, plus personne n’aura envie d’avoir un chien prétendu dangereux car cela sera trop contraignant. » Éducateurs et comportementalistes seront vraisemblablement les prestataires de la formation prévue par la législation et pourront, à ce titre, délivrer l’attestation d’aptitude. Isabelle Derammelaere regrette que seuls soient concernés les chiens des catégories 1 et 2 (d’attaque, de défense et de garde).
Pour elle, « tout chien est potentiellement dangereux » si le maître n’a pas appris à le maîtriser.
« Avec cette législation, on est sur la bonne voie. affirme Patrick Brochart, secrétaire général de l’Ordre des vétérinaires du Nord - Pas-de-Calais. Il faut responsabiliser les propriétaires. » En attendant le décret d’application, la profession vétérinaire s’organise.
Des formations sont proposées aux médecins volontaires pour qu’ils soient habilités à évaluer la dangerosité d’un animal. « Pour éviter tout abus et limiter le caractère subjectif d’une telle évaluation, une grille de critères est élaborée. » Parmi les 670 vétérinaires de la région, moins d’une dizaine suivent ou ont suivi cette formation. « C’est nouveau » justifie Patrick Brochart. Un autre vétérinaire doute, lui, que beaucoup de ses confrères acceptent de s’engager sur la non-dangerosité d’un chien. « On peut déterminer la dangerosité d’un chien à un instant donné, mais on ne peut pas affirmer qu’il ne représentera aucun risque à l’avenir. Une fois que le vétérinaire aura signé, sa responsabilité sera d’une façon ou d’une autre recherchée en cas d’accident. »

Nounouch a écrit:

NOUVELOBS.COM | 28.07.2008 | 18:49

L'homme de 59 ans s'était rendu au commissariat pour porter plainte pour le vol de son chien, qu'il avait en fait laissé dans une voiture. Sa garde à vue, pour mauvais traitement de son animal, a pris fin lundi après-midi.

Le maître-chien a été relaché lundi après-midi à Courbevoie (Hauts-de-Seine) après près de 24 heures de garde à vue, a-t-on appris lundi 28 juillet de source policière. Il avait laissé son chien dans sa voiture. L'homme comparaitra devant un tribunal de police.
Les pompiers sont intervenus, dimanche soir vers 17h00 avec l'aide du Service pour l'assistance et le contrôle du peuplement animal (Sacpa), pour ouvrir la voiture dans laquelle l'homme de 59 ans avait abandonné son compagnon.
Le rottweiler au "comportement agressif" avait en effet été signalé par des passants, une première fois vers 15h15 et une deuxième fois peu avant 17h00, selon la même source.
Mais le maître-chien, âgé de 59 ans, qui travaille pour une société de sécurité, s'est rendu au commissariat vers 20h00 pour porter plainte pour le vol de son animal. Il a immédiatement été interpellé par les policiers pour mauvais traitement de son chien.

Il en faudrait plus des comme ça !

Kansas, Etats-Unis - Trois bébés tigres blancs rejetés par leur mère ont été confiés à une chienne Golden retriever au Safari Zoological Park de Caney.

Le propriétaire du parc, Tom Harvey, a décidé de confier la portée à cette chienne Golden retriever qui venait de finir de sevrer ses chiots il y a peu de temps.

La "mère adoptive" a très bien accepté ces nouvelles bouches à nourrir qu'elle allaite, lèche et nettoie comme ses propres petits.

Mercredi, à Lucé, en Eure-et-Loir, un pitbull s'est enfui de son enclos et a attaqué trois passants dans la rue.

Ce chien de catégorie 1 (chien d'attaque), âgé de 9 ans, s'est attaqué d'abord à une factrice à vélo.
Elle a été mordue à plusieurs reprises.

Puis le pitbull a mordu au bras une passante, avant d'attaquer un septuagénaire qui revenait de faire ses courses.

La police nationale de Chartres a dû utiliser des flashballs pour maîtriser ce pitbull qui, d'après les témoins, était d'une rare agressivité.

Le pitbull a fini par être capturé par le maître-chien de la police municipale de Lucé.

Le chien était déclaré, mais non stérilisé, comme l'oblige la loi.

Camping du domaine de Gajan, à Boisseron (Hérault)

Avant-hier soir, un peu avant minuit, un ado de 14 ans a voulu jouer avec un chien qui dormait sur la terrasse d'un mobile home.

Depuis le 14 juillet qu'il était arrivé, il avait pris l'habitude de jouer avec cet animal et jusque là il n'avait eu aucun problème...

Ce chien est un berger allemand...

Il lui a agité des bracelets fluorescents devant les yeux, tout en lui secouant la tête, le réveillant même...

C'est alors que le chien a bondit et la mordu violemment à la joue... puis, il l'a relâchée et a été se coucher sous le lit à l'intérieur du mobile home pour ne plus bouger.

L'enfant a une plaie de dix centimètres sous l'oreille, mais l'œil n'a pas été touché.

Il a été opéré hier matin à l'hôpital de Montpellier et il ne devrait pas avoir trop de séquelles.

Mais, on pense que les conséquences auraient pu être plus lourdes en raison de la puissance de la mâchoire d'un chien berger allemand !

Sa famille a décidé de ne pas porter plainte, le chien étant en règle...

(Source Midi Libre)

RIYAD — La police religieuse saoudienne, protectrice des très stricts codes islamiques en vigueur au royaume wahhabite, s'est trouvé une nouvelle cible: les chats et chiens. Au motif que se promener dans un parc escorté par un compagnon à quatre pattes fournirait un excellent prétexte pour engager la conversation avec une jeune personne du sexe opposé, la vente de ces animaux domestiques est désormais interdite à Riyad, tout comme le fait de les sortir en public.

Toute personne rencontrée dans les rues escortée d'un caniche, labrador ou autre animal de compagnie se le fera confisquer par les agents de la Commission pour la Promotion de la vertu et la prévention du vice.

Othman al-Othman, le patron de cette police des moeurs, s'explique dans les colonnes d'"Al-Hayat" sur les raisons de cette interdiction, en vigueur depuis mercredi dans la capitale du royaume: "La croissance du phénomène des hommes utilisant des chats et chiens pour aborder les femmes et harceler les familles" et "la violation de ce qu'est un comportement correct dans les parcs publics et centres commerciaux".

"Si un homme est pris avec un animal, l'animal sera immédiatement confisqué et l'homme forcé à s'engager par écrit à ne pas recommencer. S'il recommence, il sera dénoncé aux autorités", ajoute-t-il.

Il est très rare que les responsables de la "muttawa" annoncent officiellement les nouvelles règles qu'ils entendent faire appliquer. Jeudi, aucun membre de la commission ou de la municipalité de Riyad n'était joignable pour commenter cette information.

Malgré les inquiétudes avancées par ces autorités, il est de toute façon extrêmement rare de voir des chiens promenés en laisse dans les rues de Riyad, encore moins de chats transportés en public.

Et dans plusieurs animaleries de la ville, les vendeurs disaient n'avoir reçu aucun ordre officiel interdisant la vente d'animaux de compagnie. Un client, Yasser al-Abdallah, infirmier de 28 ans et propriétaire de deux chiens, a cependant raconté qu'un couple d'amis occidentaux s'était fait intimer l'ordre par la police des moeurs de ramener son chien à la maison.

En Arabie saoudite, les zélés agents de la police religieuse patrouillent rues et centres commerciaux pour s'assurer du respect de la séparation des sexes, s'en prenant aux femmes qu'ils jugent insufisament voilées et exhortant les hommes à la prière lorsque l'heure approche.

Ils mènent également un combat incessant contre toutes les nouveautés du monde moderne qui permettraient des rapprochements entre hommes et femmes: en 2004, ils cherchèrent notamment à interdire les téléphones portables à appareil photo, craignant qu'il ne devienne instrument de séduction. Chaque année, ils font campagne contre la Saint-Valentin, création occidentale qui pousserait au vice, et traquent toute personne portant du rouge à l'occasion.

L'offensive contre les chiens et chats pourrait surtout être destinée à limiter la possession d'animaux de compagnie, nouvelle mode venue d'Occident et que les Saoudiens conservateurs dénoncent comme corruptrice des valeurs traditionnelles, au même titre que les jeans, les bermudas -pour hommes, bien sûr-les fast-foods ou la musique occidentale, devenus eux communs dans le royaume.

Avoir un animal de compagnie n'a jamais été courant ni bien vu dans le monde arabe, mais devient de plus en plus "branché" dans la haute bourgeoisie saoudienne ou égyptienne. L'Islam traditionnel considère le chien comme un animal sale et dangereux, pouvant à la rigueur servir à la chasse ou pour monter la garde.

En revanche, s'en prendre aux chats semble plus étonnant, les félins n'étant pas autant méprisés par l'Islam. L'un des plus proches compagnons du Prophète se déplaçait toujours accompagné d'un chaton, et plusieurs hadiths racontent des histoires de chats: le Prophète a notamment laissé un chat boire l'eau de ses ablutions avant la prière, ou promis l'enfer à une femme qui maltraitait un chat. S'il est commun de nourrir les chats des rues, ce n'est pas aussi courant d'en avoir un chez soi.

dimanche 03.08.2008, 05:11 - La Voix du Nord

Dans un différend familial qui s'envenimait, un berger allemand a été appelé à la rescousse le 30 juillet à La Couture. L'animal a mordu un gendarme.

La dispute opposait un père à son fils de 24 ans. Ne parvenant pas à calmer son rejeton, le père appelle la maréchaussée qui maîtrise le jeune homme très énervé. Se voyant pris, ce dernier crie à son berger allemand d'intervenir. La bête saute à l'avant-bras d'un gendarme qui a dû recevoir quelques points de suture mais ne subit pas d'incapacité temporaire de travail.

Emmené à la brigade de Laventie, le jeune La Couturois continue à proférer des insultes. Un médecin consulté conseille un séjour à l'établissement public de santé mentale de Saint-Venant.

Un séjour qui ne dépassera pas quelques heures : le jeune homme s'en évade au cours de la nuit.

Les gendarmes vont le cueillir le lendemain à son domicile et le placent en garde à vue. Un autre médecin l'examine et conclut qu'il est en état d'être interrogé.

Au terme de la garde à vue, un mandat de dépôt a été décerné à l'encontre de ce La Couturois pris d'un accès de violence. Il attendra à la maison d'arrêt la date de son procès fixée au 2 septembre. D'ici là, il fera l'objet d'une expertise médicale en bonne et due forme.

Dans la nuit de vendredi à hier, deux jeunes gens, âgés de 19 ans, ont été mordus par un chien sur une plage de Nice. « Pris de panique », comme ils l'ont expliqué, hier matin, à l'OPJ du commissariat Foch, ils sont partis en courant vers l'hôpital, où ils ont été aussitôt pris en charge pour des blessures à l'avant-bras et au genou pour l'un, à la jambe, pour l'autre.

Il était environ 5 heures du matin samedi. Selon leurs dires, les deux victimes venaient de sortir de la discothèque qui fait l'angle de la Promenade des Anglais et du boulevard Gambetta, quand ils ont décidé d'aller faire quelques pas sur la plage Hi-Beach, une plage privée située juste en face. Alors qu'ils marchaient sur le bord de l'eau, les jeunes gens auraient croisé l'agent de sécurité faisant sa ronde avec son rottweiller, non muselé. Le vigile aurait alors lâché son chien.

« Un des jeunes a mis un coup de pied dans la barrière, ce qui a énervé le chien qui a alors attaqué » : c'est la version rapportée par le vigile au directeur de la plage, que nous avons joint hier par téléphone.

Sans vouloir minimiser les faits, celui-ci nous expliquait « toute la difficulté qu'il y a gérer cette plage, la nuit : entre les jeunes qui sortent de boite et les prostituées, c'est l'enfer. »

Lundi, les deux jeunes gens devront se présenter devant un médecin infectiologue à l'hôpital Cimiez pour un examen plus approfondi de leurs blessures. Car les morsures de chien ne sont jamais sans risque (voir encadré).

Ce fait divers pose une fois de plus le problème de l'utilisation des rottweilers, des chiens de deuxième catégorie (1), par des personnes qui ne sont pas toujours formées à cet usage. Une enquête est diligentée par les services de police.

1. Selon la réglementation adoptée en 1999 et renforcée en 2007, les chiens de 2e catégorie doivent être muselés et tenus en laisse lorsqu'ils circulent en ville.
Monaco-Matin

C' est dingue les médias ne s ' intéressent qu' aux morsures jamais aux autres nouvelles ...