Actualités

« Depuis 40 ans, ce village connaît des cas d’empoisonnement de chevaux, chiens et chats. Deux ou trois par an ces dix dernières années, et trois ces six derniers mois : un chien et deux chats, sans compter un cheval qui a pu être sauvé ».
Le constat dressé par le responsable enquêtes de la SPA de Vannes et sa région conduit l’association à porter plainte contre X auprès du procureur de la république de Vannes, pour empoisonnement d’animaux. Le village en question, « Les Bruyères », est situé à Trédion, au nord de Vannes non loin d’Elven. La SPA fait état du témoignage de 13 propriétaires victimes, de celui d’un ancien secrétaire de mairie, de certificats de vétérinaires et de plaintes déposées à la gendarmerie, la dernière datant du mois de mars. « Presque tous les habitants témoignent, indique la SPA. Les animaux meurent dans d’atroces souffrances. Cela crée une psychose », ajoute le responsable enquêtes qui est allé sur place, rencontrer les familles. Le village ne compte qu’une dizaine de maisons. Presque tous les habitants ont perdu au moins un animal.
À la strychnine
Une habitante du village explique qu’elle a perdu cinq chats et chiens, dont un berger allemand : « Il est mort il y a 13 ans, empoisonné à la strychnine. Cela a été confirmé par une autopsie pratiquée à Rennes. Je l’ai retrouvé devant ma porte ». Cette personne évoque aussi son chat empoisonné au raticide ; un autre revenu mourant à la maison, transpercé par une balle. « Depuis 40 ans, cela fait des dizaines d’animaux. Certains ont même été battus à mort ».

Le Télégramme.com

Son objectif est de responsabiliser les propriétaires de chiens d'attaque et de défense ou d'animaux ayant déjà mordu. Ils devront obtenir une «attestation d'aptitude» à la détention de ces chiens, délivrée à l'issue d'une formation aux règles d'éducation canine et de sécurité. Ils devront soumettre régulièrement l'animal à une «évaluation comportementale régulière et périodique» par un vétérinaire.

Le texte institue un permis de détention des chiens d'attaque, de garde et de défense. Ce permis, comparable à celui des armes à feu, sera délivré par le maire de la commune de résidence du propriétaire, après une évaluation du comportement du chien. La loi prévoit qu’en cas de changement de commune de résidence, le permis doit être présenté à la mairie du nouveau domicile.

Le nouvel article L. 211-14 du Code rural prévoit que «la délivrance du permis de détention est subordonnée à la production :
- de pièces justifiant:
a) de l’identification du chien;
b) de la vaccination antirabique du chien en cours de validité;
c) dans les conditions définies par décret, d’une assurance garantissant la responsabilité civile du propriétaire du chien ou de la personne qui le détient pour les dommages causés aux tiers par l’animal. Les membres de la famille du propriétaire de l’animal ou de celui qui le détient sont considérés comme tiers au sens des présentes dispositions;
d) pour les chiens mâles et femelles de la première catégorie, de la stérilisation de l’animal;
e) de l’obtention, par le propriétaire ou le détenteur de l’animal, de l’attestation d’aptitude;
- de l’évaluation comportementale.»

Lorsque le chien n’a pas atteint l’âge auquel cette évaluation doit être réalisée, il est délivré à son propriétaire ou son détenteur un permis provisoire dans des conditions précisées par décret. Si les résultats de l’évaluation le justifient, le maire peut refuser la délivrance du permis de détention.

Une fois le permis accordé, il doit être satisfait en permanence aux conditions "identification du chien" et "vaccination antirabique du chien en cours de validité".

En cas de constatation du défaut de permis de détention, le maire ou, à défaut, le préfet met en demeure le propriétaire ou le détenteur du chien de procéder à la régularisation dans le délai d’un mois au plus. En l’absence de régularisation dans le délai prescrit, le maire ou, à défaut, le préfet peut ordonner que l’animal soit placé dans un lieu de dépôt adapté à l’accueil ou à la garde de celui-ci et peut faire procéder sans délai et sans nouvelle mise en demeure à son euthanasie.

Les frais liés aux opérations de capture, de transport, de garde et d’euthanasie de l’animal sont intégralement et directement mis à la charge de son propriétaire ou de son détenteur.»

Le projet de loi contient aussi un volet répressif. Un homicide involontaire causé par un chien entraînera une peine maximale de 10 ans d'emprisonnement et de 150.000 euros d'amende.

LOI n° 2008-582 du 20 juin 2008 renforçant les mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux


Source : http://www.maire-info.com
Communiqué du 23 juin 2008

Le chien est le meilleur ami de l'homme, mais pas nécessairement celui du facteur. De janvier 2007 à mai 2008 en Atlantique, 40 facteurs ont subi des morsures en faisant leur travail.

Postes Canada a entrepris une grande campagne de sensibilisation de ses employés et du public pour que tous soient conscients des dangers que peuvent constituer des chiens en liberté, mal attachés, ou qui ont accès aux portes extérieures munies de fentes pour le courrier.

La scène d'un facteur poursuivi par un chien fait partie du folklore. Malheureusement, pour les facteurs, c'est un risque quotidien.

Gordon Whalen, un facteur, indique qu'un chien de 110 livres, un croisement entre un rottweiler et un danois, l'a attaqué et lui a déchiré la main. Les incidents de ce genre sont à la hausse, selon Postes Canada.

« On parle d'au-dessus de 500 incidents à travers le Canada, et puis ça, c'est depuis 2006. Ici en Atlantique, on parle de 70 cas. - Vincenzo Delle Donne, Postes Canada »


Dans le cas des maîtres qui estiment que leur animal n'est pas dangereux, Postes Canada souligne que 9 fois sur 10, les blessures ou les morsures sont infligées par des chiens que l'on croyait inoffensifs.

Postes Canada http://www.radio-canada.ca

mercredi 25.06.2008, 04:59 - La Voix du Nord


L'enfant mordu par un bull-terrier, samedi soir, à Marcq-en-Baroeul est rentré chez lui, hier. L'animal - qui n'est pas classé dangereux - est également toujours chez sa maîtresse. La famille de la victime a porté plainte.

Samedi soir, un garçon d'une dizaine d'années était mordu par un chien, alors qu'il jouait dans un parc privé de la rue Copernic à Marcq-en-Baroeul.

Assez sérieusement blessé au bras, il avait été soigné par une voisine, infirmière pour SOS-mains et chez les sapeurs-pompiers, avant d'être hospitalisé.

Lundi, le paisible quartier marcquois était sous le choc. « Beaucoup de personnes m'ont appelé pour me demander si le chien était encore là, raconte le concierge de la résidence où est domiciliée la propriétaire de l'animal. Beaucoup de gens ont des enfants ici et fréquentent le jardin. Ils ne sont pas rassurés. » La jeune victime, elle, est rentrée chez elle hier, sans que l'on connaisse encore la gravité de sa blessure (un médecin légiste devra déterminer le temps d'interruption de travail - ITT).

Parallèlement, l'enquête menée par le groupe d'appui judiciaire de Marcq-en-Baroeul se poursuit. Pour l'instant, l'animal mordeur, un bull-terrier, est toujours sous la garde de sa maîtresse.

Celle-ci aurait affirmé que l'anneau qui tenait la laisse du chien - qui n'est pas classé en catégorie « dangereux »- aurait lâché, samedi soir, juste avant l'accident. On vérifie également si les vaccins de l'animal sont à jour.

La famille de la victime a porté plainte contre la propriétaire de l'animal. •

A. D. (avec G. C.)

Le corps sans vie d'un homme de 77 ans a été découvert vidé de son sang lundi matin à son domicile de Balgau (Haut-Rhin), a-t-on appris hier de source policière. Selon les premiers éléments de l'enquête, il est « plus que probable que la victime ait été attaquée par son chien », qui l'a mordu à plusieurs reprises. Agressif, le bâtard croisé avec un chien de chasse l'avait déjà agressé auparavant. Récupéré par la Société protectrice des animaux, il devrait être euthanasié dans les prochains jours. Le septuagénaire présentait d'importantes mutilations au niveau, entre autres, des mains et des poignets. L'hémorragie provoquée par les morsures a été accentuée par un traitement anti-coagulant qu'il prenait pour soigner son hémophilie.



Philippe Wendling - ©2008 20 minutes

Un homme de 77 ans a été découvert mort lundi par son frère alors qu'il gisait dans le salon de sa maison de Balgau (Haut-Rhin), apprend-on auprès de la gendarmerie.

Selon l'enquête, le chien, un bâtard de 6 ans, avait mordu son maître aux bras, aux poignets, blessures de gestes de défense, et aux chevilles. Le vieil homme qui se trouvait sous traitement anti-coagulant, a été victime d'hémorragies.

Le chien qui avait déjà mordu son maître a été confié à la SPA et sera euthanasié. AP

Le Nouvel Obs

Écrit et posté le Mardi 24 juin 2008 @ 14:45:25 par Solange Gavarry pour News France
Le drame à Balgau dans le Haut-Rhin dans la nuit de dimanche à lundi où un homme de 70 ans a trouvé la mort après avoir été mordu à plusieurs endroits par son propre chien, un batard âgé de 6 ans.

C'est le frère de la victime qui a fait cette macabre découverte lundi peu après 7 heures du matin. Son frère gisait dans une marre de sang. Selon les premiers éléments de l'enquête, et même s'il est encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives, les morsures du chien seraient bien à l'origine de l'hémorragie (l'homme était sous traitement anti-coagulant).

Il semblerait que ce chien n'en soit pas à sa première morsure. Il aurait déjà attaqué son maître il y a quelques mois de cela...

Reuters

Un homme de 77 ans est mort dans la nuit de dimanche à lundi à son domicile de Balgau (Haut-Rhin) après avoir été mordu par son chien, un bâtard de taille moyenne, issu d'un croisement avec un chien de chasse, apprend-on auprès de la gendarmerie de Jebsheim.

C'est son frère, avec qui il partageait la même maison, qui l'a trouvé au matin "baignant dans son sang, avec des morsures assez importantes aux bras, aux poignets et aux chevilles", a-t-on précisé de même source.

La victime, qui prenait un traitement anticoagulant, a succombé à une hémorragie.

Le chien, âgé de six ans, avait déjà mordu son maître. Il a été confié à la SPA et devait être euthanasié, selon la gendarmerie.

Gilbert Reilhac

ça arrive plus souvent qu' on ne le pense je crois car c' est arrivé à un voisin de mes parents !

Nounouch a écrit:

mercredi 25.06.2008, 04:59 - La Voix du Nord


L'enfant mordu par un bull-terrier, samedi soir, à Marcq-en-Baroeul est rentré chez lui, hier. L'animal - qui n'est pas classé dangereux - est également toujours chez sa maîtresse. La famille de la victime a porté plainte.

Samedi soir, un garçon d'une dizaine d'années était mordu par un chien, alors qu'il jouait dans un parc privé de la rue Copernic à Marcq-en-Baroeul.

Assez sérieusement blessé au bras, il avait été soigné par une voisine, infirmière pour SOS-mains et chez les sapeurs-pompiers, avant d'être hospitalisé.

Lundi, le paisible quartier marcquois était sous le choc. « Beaucoup de personnes m'ont appelé pour me demander si le chien était encore là, raconte le concierge de la résidence où est domiciliée la propriétaire de l'animal. Beaucoup de gens ont des enfants ici et fréquentent le jardin. Ils ne sont pas rassurés. » La jeune victime, elle, est rentrée chez elle hier, sans que l'on connaisse encore la gravité de sa blessure (un médecin légiste devra déterminer le temps d'interruption de travail - ITT).

Parallèlement, l'enquête menée par le groupe d'appui judiciaire de Marcq-en-Baroeul se poursuit. Pour l'instant, l'animal mordeur, un bull-terrier, est toujours sous la garde de sa maîtresse.

Celle-ci aurait affirmé que l'anneau qui tenait la laisse du chien - qui n'est pas classé en catégorie « dangereux »- aurait lâché, samedi soir, juste avant l'accident. On vérifie également si les vaccins de l'animal sont à jour.

La famille de la victime a porté plainte contre la propriétaire de l'animal. •

A. D. (avec G. C.)

Un vrai cynophile ne peut pas aimer les bull-terriers ! Les amateurs de bull-trucs c' est pas les chiens qu' ils aiment ...

Les chiens guides d'aveugles ont pris possession de leurs nouveaux locaux, lundi, dans un cadre idéalement adapté à leur activité. Visite guidée.

Modernes mais aussi très fonctionnels, les nouveaux locaux ont été entièrement pensés et aménagés pour faciliter la vie des déficients visuels, mais aussi pour l'entraînement de leurs chiens. Un exemple on trouve trois sortes d'escaliers, (bois, béton, caillebotis). Le centre intègre aussi trois appartements destinés aux déficients visuels. Leur séjour ici agira comme un sas d'adaptation. Mais le centre Paul Corteville veut encore aller plus loin dans une logique de prise en charge globale. Aide à la locomotion, aide à la vie journalière, apprentissage de l'utilisation de la canne électronique, telles sont les nouvelles formations qui seront dispensées ici. Les chiens trouveront aussi les conditions idéales pour leur apprentissage avec des parcours d'évolution au top. Ils bénéficieront aussi de 9 parcs de détente. À noter, que l'équipement a pu être financé avec la vente du centre de Wasquehal, mais aussi grâce aux produits des legs placés utilement. Les dons servent exclusivement au fonctionnement du centre. •

FRANÇOIS FLOURENS
Les rédactions de La Voix du Nord
La Voix du Nord

Menton aujourd'hui

Hier matin, panique à l'entrée de la rue Pietra-Scritta, où un chien est signalé prétendu « errant et dangereux » par des voisins sans doute apeurés.

Quelques instants plus tard, la rue est bouclée par la police nationale, en attendant l'arrivée des pompiers chargés de capturer l'animal. Ils se trouveront sur les lieux en fin de matinée, accompagnés par une équipe du groupe de sauvetage animalier de Bar-sur-Loup et le vétérinaire de permanence.

A la recherche de nourriture

Le chien, de type Beauceron, enfermé sur le balcon d'une maison située à côté du centre Midas, a semble-t-il ouvert la porte de son enclos et emprunté les escaliers menant à la rue, errant à la recherche de nourriture. A plusieurs reprises, il mettra sa truffe dans les poubelles du quartier, sous le regard des riverains et des passants étonnés par tout ce remue-ménage. L'un d'entre eux connaissant l'animal lance : « C'est un chien très gentil ; c'est sûr, il est impressionnant par son gabarit et sa couleur sombre, mais il n'est pas dangereux ». Toutefois, l'on ne connaît jamais à l'avance le comportement d'un chien en liberté qui a faim... sans parler de ses réactions vis-à-vis des enfants.

Le chien, visiblement âgé de trois ou quatre ans, ne résistera pas longtemps aux pompiers qui le capturent, finalement, au lasso (ils ont revêtu au préalable une combinaison rembourrée). Et le transportent dans une cage jusqu'à la clinique vétérinaire du Careï où il a été reconnu en parfaite santé.

Joint par téléphone dans la journée, son propriétaire devait le récupérer, hier soir. Il pourrait avoir à s'acquitter seulement d'une contravention pour divagation d'animal, si le Parquet retient l'infraction.
R. D.
Nice-Matin

La Cellule Anti-Trafic vient de procéder à une saisie de 136 chiens chez l'un des plus gros fournisseurs d'animaux pour animaleries. L'homme n'est pas un inconnu des services de la SPA.

En effet, déjà condamné lors d'un procès, il avait été mis en examen pour des faits de faux et usage de faux, pratique illégale de la médecine vétérinaire, détention de chiens de deuxième catégorie sans déclaration à la mairie, importation illégale en rapport avec l'âge et les vaccinations d'animaux, tromperie sur les qualités substantielles ou l'origine de l'animal vendu, et mauvais traitements à animaux.

La SPA, alors partie civile, n'a pas souhaité lâcher ce « gros poisson » et a continué à enquêter sur ses activités d'importation et de revente d'animaux.

« La Cellule Anti-Trafic est depuis de nombreuses années sur le cas de ce fournisseur d'animaux. Nous avons reçu beaucoup de plaintes de particuliers soulignant l'état de santé des animaux. Aujourd'hui, la situation ne peut plus durer. Nous espérons vivement que cette saisie sera la dernière et que l'individu impliqué dans ce commerce ne pourra plus approcher ni de près ni de loin un animal. Cette personne par son activité, ne l'oublions pas, participe au malheur des animaux et en particulier au nombre grandissant et dramatique d'animaux abandonnés », déclare Caroline LANTY, Présidente de la SPA.

« Nos équipes vétérinaires, nos salariés et bénévoles s'occupent aujourd'hui de ces chiots, très jeunes pour la plupart : soins, vaccination, et socialisation sont désormais les 3 mots d'ordre avant qu'ils soient proposés à l'adoption dans nos refuges. Séparés trop tôt de leur mère, épuisés par un voyage éprouvant à travers l'Europe, la SPA fera tout pour leur assurer une future vie auprès de maîtres responsables. Puisse cette nouvelle saisie opérée par la SPA, faire prendre conscience à nos hommes politiques de l'urgence à intervenir dans ce secteur, laissé sans contrôle, et ayant pour seul impératif : la rentabilité sur le dos des animaux », conclut Caroline LANTY.

Source : SPA
2008-06-25 22:16:00

Son Rottweiller mord le voisin.- Un Dunkerquois a été condamné à un mois de prison avec sursis, à 250 E d'amende et à 300 E de dommages et intérêts parce que son chien, un Rottweiller, a mordu son voisin. Le chien n'était pas tenu en laisse et ne portait pas de muselière.
La Voix du Nord

Pour renforcer la lutte contre les déjections canines qui traînent ci et là, Knokke-Heist va placer cet été des panneaux bilingues. Le texte néerlandais, selon lequel le chien demande à son maître de ramasser ses crottes, est traduit en langage "toutou" par "Waf-waf, woef-woef, grom-grom, wrrrrraaaaafff, wrrrrrrooooooww, grrrrrrr!". Ces panneaux assortis d'un dessin humoristique seront placés aux points noirs.

Depuis des années, la station balnéaire mène des campagnes estivales pour attirer l'attention des touristes et habitants sur leur comportement en matière de déchets. Des brochures, rédigés en quatre langues, sont également distribuées aux touristes. Chaque touriste reçoit en outre un plan sur lequel sont indiqués les bulles à verre, les coins pour chiens et les conteneurs payants pour les ordures.

Cet été, Knokke-Heist mettra aussi en service une machine ramasseuse de déjections canines pour souligner l'image de propreté de la commune.

Le problème constitue une des priorités de la police locale. Les horaires des agents ont été adaptés en fonction des moments lors desquels les maîtres sortent le plus souvent leur(s) chien(s). Les contrevenants risquent une amende corsée.

(belga/7sur7)
26/06/08 21h15

Albi. Trois voyages à Purpan pour une morsure de chien


Il ne pensait pas qu'une simple morsure de chien lui créerait tant de problèmes. Le 17 juin dernier, à 16h30, un jeune de 15 ans et demi est mordu par un petit chien, sur l'avenue de Lattre-de-Tassigny à Albi. L'animal lui attrape les deux mollets. Aïe!

L'adolescent se rend immédiatement à la clinique Claude-Bernard pour se faire soigner. A titre préventif, puisque le chien n'était pas identifié à ce moment-là (il le sera plus tard), un vaccin contre la rage a été recommandé. Problème: il n'y a pas de centre agréé dans le Tarn.

Le seul centre de vaccination antirabique dans la région se trouve à Toulouse, au service des maladies infectieuses et tropicales (Smit) de l'hôpital Purpan.

«Il existe des procédures particulières pour le vaccin antirabique qui expliquent qu'il n'y ait pas de centre agréé dans tous les départements», indique une infirmière de la DDASS du Tarn.

Ainsi, le dispensaire de prévention sanitaire de l'hôpital d'Albi est agréé pour la vaccination antiamarile (fièvre jaune et autres maladies tropicales contre lesquelles les voyageurs doivent obligatoirement se prémunir), mais pas pour la rage.

Le soir de sa mésaventure, le jeune Albigeois a donc dû se faire accompagner par son père à l'hôpital Purpan. Il y est revenu ce mercredi pour le premier rappel du vaccin... et devra encore y retourner dans trois semaines pour le second rappel.

Ce jeune n'a pas de raison d'être inquiet. «Si c'est un chien français, bien identifié, il n'y a pas de problèmes. Notre pays n'est pas touché par la rage», souligne le Dr Bruno Lailheugue, vétérinaire à Albi.

LA LOI PLUS RÉPRESSIVE

Quant à l'affaire proprement dite, elle devrait se régler entre assurances, avec la responsabilité civile de la propriétaire du chien. «Cet animal divague toujours. Il avait déjà mordu d'autres personnes mais rien n'est fait», enrage le grand-père de l'adolescent. La police et la direction des services vétérinaires devraient donc regarder ce cas de plus près. Surtout qu'une loi, votée la semaine dernière, va renforcer la surveillance autour des chiens mordeurs. «Toute morsure devra faire l'objet d'une déclaration obligatoire au maire. Dans ce cadre, la levée du secret professionnel sera imposée aux médecins et vétérinaires», indique le Dr Lailheugue.

Publié le 28 Juin 2008 à 09h42 | Auteur : P.-J. P.

samedi 28.06.2008, 04:54 - La Voix du Nord Actualité Lens

Une voiture a fini sa course sur un trottoir, jeudi soir, à Méricourt. À quelques centimètres près, un enfant qui promenait son chien, était percuté. Le chien est mort. Le conducteur, ivre, a été placé en garde à vue au commissariat d'Avion.

Il est environ 20 h 30, jeudi, aux abords de l'école Elsa-Triolet à Méricourt. Un enfant de 9 ans promène son yorkshire sur le trottoir. Une Peugeot 309 déboule et fini sa course sur le trottoir. La roue écrase le chien, qui mourra. L'enfant, qui tenait l'animal en laisse, se trouve alors à vingt centimètres de la roue. Il a failli être renversé. Et, estiment les policiers avionnais, même à allure réduite, l'enfant aurait pu y laisser sa vie.

Les fonctionnaires ont vérifié l'alcoolémie du conducteur, un Méricourtois de 62 ans. Contrôlé positif, il a été ramené au commissariat pour que son taux d'alcoolémie soit déterminé précisément. Là, l'éthylomètre affichait un taux de 3,10 grammes par litre de sang. Il a été placé en cellule de dégrisement d'abord puis en garde à vue. Hier matin, les policiers ont pu commencer à l'auditionner.

Le dossier de procédure a été transmis au parquet d'Arras qui l'étudiait hier après-midi. Un magistrat précisait que comme le conducteur n'avait pas d'antécédents judiciaires, en tout cas pour la conduite sous l'empire de l'alcool, l'homme ferait l'objet d'une convocation prochainement devant le tribunal d'Arras. Il sera donc laissé libre au terme de sa garde à vue. Le parquet a retenu les faits de conduite sous l'empire d'un état alcoolique et mise en danger de la vie d'autrui.

• S. R.

AMJ - Photo DR

La loi n° 2008-582 du 20 juin 2008 renforçant les mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux est publiée au Journal Officiel du 21 juin 2008.

Les principales dispositions

Télécharger en PDF le texte de la loi n° 2008-582 du 20 juin 2008 :
http://www.aniwa.com/img/upload/83646_JO_20080621_0001.pdf

Désormais, les propriétaires ou détenteurs de chiens dits « dangereux » (chiens classés en 2 catégories, chiens d'attaque d'une part et chiens de garde ou de défense d'autre part) devront obtenir une attestation d'aptitude à la détention de ces animaux sanctionnant une "formation relative aux principes d'éducation canine et aux règles de sécurité applicables aux chiens dans les espaces publics et privés". Pour posséder ou détenir un de ces chiens, un "permis de détention" sera délivré par à la mairie de son domicile.

Ces chiens devront en outre être soumis à une "évaluation comportementale" renouvelée périodiquement. En cas de non présentation au maire de l'attestation d'aptitude au moment de la déclaration administrative de l'animal, le maire aura la possibilité de placer l'animal et éventuellement de faire procéder à son euthanasie au motif d'une "présomption de danger grave et immédiat".

Les propriétaires de chiens ayant provoqué un accident mortel pourront être condamnés à des peines allant jusqu'à 10 ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende.

Les agents de surveillance et de gardiennage utilisant un chien devront suivre une formation destinée aux maîtres de chiens, formation payée par l'employeur.

Le maire pourra également prescrire aux détenteurs de chiens n'appartenant pas aux 2 catégories classées dangereuses mais présentant un risque particulier, par leur taille notamment, de suivre une formation relative à l'éducation canine et de les soumettre à une évaluation comportementale.

Tout chien ayant mordu une personne, quelle que soit sa catégorie, devra faire l'objet d'une déclaration en mairie et devra être soumis à une évaluation comportementale.

Source : Aniwa

Par Zigonet Zigonet.com - Samedi 28 juin, 12h00

Mansfield, Angleterre – Des volontaires ont été recrutés pour peindre en rose les excréments de chiens abandonnés par les propriétaires canins.


Coïncidant avec la « semaine nationale de la pelle à crottes », (« Poop Scoop Week » en anglais), cette initiative a été mise en place afin de pousser les possesseurs de chiens à déposer les déjections de leurs animaux dans les poubelles mises à leur disposition.

En signalant ainsi les excréments non ramassés, les autorités espèrent faire honte aux maîtres laxistes. La peinture, biodégradable, a été conçue pour se décomposer sans dommage pour l’environnement.

ca c'est une bonne idée
mais bon peindre en rose

Le Prix Croix-Rouge suisse 2008 a été remis à l'association "Chien de thérapie". Doté de 25'000 francs, il récompense le travail des équipes cynophiles qui rendent visite aux personnes âgées, handicapées ou malades dans des institutions.

Les chiens sont considérés comme co-thérapeuthes aux côtés de thérapeutes, médecins ou psychiatres, indique la Croix-Rouge dans un communiqué. Grâce à son lien avec l'animal, la personne qui a besoin d'aide voit son bien-être s'améliorer. La remise du prix a eu lieu à l'issue de l'assemblée des délégués de la Croix-Rouge à Sion.

www.romandie.com/

magnifiques

Source : AFP
30/06/2008
.
Un homme âgé de 49 ans a été condamné à un an et neuf mois de "travaux forcés à régime sévère" par un tribunal russe pour avoir tué de manière "cruelle" et "préméditée" un chien, qui plus est en présence d'enfants.

Les faits remontent au 24 février dernier quand cet habitant de la région de Bijbouliak au Bachkortostan (Russie centrale) s'en est pris, sous l'emprise de l'alcool, à un "chien-loup turkmène" attaché dans la cour d'une maison voisine, le tout sous les yeux de mineurs.